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« Parfois, nous passons des jours sans manger parce que nous n'avons rien... La situation m'a causé une dépression, mon corps ne peut plus supporter le stress. J'ai juste besoin d'un peu d'aide.

- Sana, leur mère -

Omar est en 7e année même s'il a 16 ans. Quand Omar est arrivé au Liban, ils ne l'ont pas laissé s'inscrire dans sa classe. Au lieu de cela, ils l'ont fait commencer depuis le tout début. Omar est très optimiste et il dit que, bien que tous ses camarades de classe soient plus jeunes, il a une opportunité que beaucoup d'autres enfants n'auront jamais ! Sa famille a besoin d'Omar pour travailler. Aidez-le à poursuivre ses études !

La famille de Sham incarne l'expression "le rire est le meilleur remède". Leur sens de l'humour n'a pas été affecté par la dégradation de la situation et c'est quelque chose que nous aimons chez eux. Sham vit dans un appartement de deux chambres avec ses quatre frères et sœurs, sa mère et son père.

La famille d'Arwa est originaire d'Alep. C'est une famille de 7 personnes ! La famille d'Arwa n'a plus les moyens de se nourrir. L'année dernière, ils ont dû prendre la décision difficile de retirer leurs enfants de l'école parce qu'ils ne pouvaient pas se le permettre.

Reetaj et Marwa sont les jumelles de 26 Lettres. Ils vivent avec leurs sœurs Safa et Aya. Safa a une diversité mentale qui peut être difficile dans un pays comme le Liban, mais sa famille n'abandonne pas. S'occuper des 4 filles et payer les médicaments de Safa est devenu impossible pour eux.

Abdullah a huit merveilleux enfants, quatre filles et quatre garçons. Juma a été le premier à rejoindre les 26 lettres, mais maintenant les 8 étudient avec nous ! Ils sont au Liban depuis 2013, et ces deux dernières années, leur père a vu son salaire réduit à 57 dollars par mois. 57 dollars pour 8 enfants, ce n'est tout simplement pas possible!

Ces deux frères et trois autres sont les étonnants fils de Hanan. La famille de Hanan a commencé à venir à 26 Lettres en 2020. Ils essayaient de trouver un refuge dans l'enfer que leur maison était devenue. La situation économique avait brisé le mari de Hanan, qui commençait à mettre toute sa colère sur sa famille. Cette année, Hanan a pris la courageuse décision de demander le divorce. Aide Hanan à se débrouiller toute seule!

Khaled, Mustapha, Karim et Yahya sont les 4 garçons de cette famille. Leurs parents ont toujours donné la priorité à l'éducation de leurs enfants, privilégiant l'éducation à la nourriture, aux médicaments et à l'espace de vie. Tous les six vivent dans une pièce de 30m2.

Fatima veut simplement que ses enfants aillent à l'école. Cette année, l'école publique ne leur a pas permis de s'inscrire parce qu'ils viennent de Syrie. Fatime n'a pas ménagé ses efforts pour que ses enfants restent à l'école. Elle en a trouvé une qui les accepte, mais c'est très loin et elle ne peut pas payer le bus scolaire. Aidez les triplés à se rendre à leur école!

La situation au Liban aggrave les conditions de vie de la famille de Marcelo. Ses parents ont toujours donné la priorité à l'éducation. Khatoun, la grande sœur de Marcelo, veut étudier la pharmacie et ses parents font tout pour que son rêve devienne réalité, mais avec un salaire mensuel de 50 dollars, cela devient un rêve impossible.

Aiham et Aya Mohammad viennent pour Azaz, dans la campagne d'Alep. Depuis 2011, Beyrouth est leur maison. Leurs parents ont une dévotion absolue pour leurs deux enfants et ne pas pouvoir les nourrir les a dévastés. Tout ce qu'ils veulent, c'est un peu d'aide pour acheter de la nourriture.

Le mari de Najua n'a pas trouvé de travail. Maintenant, ils chantent tous les jours dans la rue pour s'occuper de leurs deux filles et de sa mère malade. Halak et Habla sont trop petites pour comprendre pourquoi elles n'ont pas pu aller à l'école cette année. Pour l'instant, Najua essaie d'économiser de l'argent pour pouvoir se payer l'année prochaine.

Ghazilla est originaire d'Alep. Elle et sa famille sont au Liban depuis 2010. Le père de Ghazilla, Mohammad, travaille comme maçon. La volatilité de son travail a poussé sa famille à s'endetter. Une dette de 500 $ devient un énorme fardeau lorsque votre salaire ne dépasse jamais 37 $ par mois.

Le vrai nom de Miguel est Reem. Elle est syrienne et une fille mais pour une raison dont nous ne nous souvenons pas maintenant, son surnom à l'école est Miguel. Miguel souffre d'asthme et ses frères et sœurs ont de graves allergies. Ses parents ne peuvent pas payer le coût des médicaments.

Aya est la seule sœur d'une maison avec trois frères. Depuis 2018, date à laquelle elle a rejoint 26 lettres, son surnom est Aya Rabbit car c'est son animal préféré. Elle fait toujours son propre truc malgré ce que les autres pourraient penser. Elle est gentille et très sociable. Il est impossible de ne pas sourire quand vous êtes avec elle.

Sirine et Fatima habitent à 5 minutes du 26 Lettres. Ils font partie de notre famille depuis 2018. Leur mère a été l'une des premières mères à faire du bénévolat dans 26 lettres. Le confinement a été particulièrement dur pour eux. Sirine, Fatima, leur petite sœur et ses deux parents ont dû rester confinés dans la maison de 10m2 où ils vivent.

La mère d'Abeer a besoin d'aide. Son mari ne peut pas travailler et son travail de femme de ménage ne suffit pas à subvenir aux besoins de ses quatre filles. Elle demande donc de l'aide pour pouvoir nourrir ses enfants et s'assurer qu'ils restent à l'école. Aidez-la à subvenir aux besoins de sa famille !

L'insécurité alimentaire oblige les familles à prendre des décisions difficiles, comme envoyer leurs enfants travailler pour subvenir aux besoins de leur famille ou marier des jeunes filles pour alléger les dépenses financières. Ayat s'est mariée quand elle avait 16 ans. Maintenant, elle est mère et elle assume tout le poids de ses responsabilités dans un pays effondré, tout en n'étant qu'une adolescente.

Khodor, la sœur de Khodor, sa fille et leur mère sont libanaises. Leur mère a un cancer qui l'empêche de respirer. Ils essaient de prendre soin d'elle, d'acheter les médicaments et l'oxygène dont elle a besoin, mais ils vivent des temps désespérés et le peu d'argent qu'ils gagnent leur permet à peine de survivre.

Jaula a un cancer et elle n'a pas les moyens d'acheter les médicaments qui pourraient lui sauver la vie. Depuis 2015, Jaula vit un cauchemar. Incapable de payer le loyer de son appartement d'une chambre, elle a dû le partager avec la famille de son frère. Incapables de payer l'école de ses enfants, ils ont dû abandonner.

Ahed rêve qu'un jour son fils puisse retourner à l'école et devenir médecin, comme ils en rêvaient tous les deux. Avec la situation au Liban, Ahed a dû voir comment son fils avait abandonné l'école pour pouvoir aider à la maison. Depuis la mort de son mari, elle a dû élever seule sa famille, et ne pas pouvoir le faire lui a brisé le cœur.

Khaled veut juste un peu d'aide pour nourrir ses enfants. Son salaire de femme de ménage n'est pas suffisant pour ses 5 enfants, sa femme et sa mère. La vie ne s'est pas déroulée comme Khaled l'espérait, mais il n'aurait jamais imaginé qu'il aurait à voir ses enfants souffrir de la faim.

Le mari de Saha a perdu son emploi. Payer le loyer et la nourriture leur devient complètement impossible. Saha a trois enfants, dont l'un a encore besoin de couches et de lait. Saha est dans une situation désespérée et il n'y a pas de solution. 25 euros par mois pourraient beaucoup soulager Saha et lui donner un répit.

Kadia ne peut subvenir aux besoins de sa famille sans aide. La hausse rapide des prix aggrave leur situation, les laissant encore plus démunis. Kadia n'est pas en mesure d'acheter suffisamment de nourriture pour ses enfants, mais ce qui la tourmente le plus, c'est de ne pas avoir pu acheter des couches ou du lait pour compléter son lait maternel pour son bébé.

"Je n'ai plus d'espoir en rien, je ne vois plus d'avenir pour mes enfants et je me sens inutile sachant que je ne peux rien faire pour changer cela."

Samia ne sait plus quoi faire pour subvenir aux besoins de sa famille. Il semble que tout ce qu'ils savaient et la vie pour laquelle ils se sont battus leur échappent et qu'ils ne peuvent rien faire pour changer cela.